Soleil, moteurs et rillettes

Ce week-end, une partie de l’équipe s’est offert une virée dans la Sarthe pour Le Mans Classic 2025. Comme tous les deux ans, l’événement a rassemblé des passionnés de tout poil, de la casquette Gulf à la combi Alpine. Et comme à chaque édition, c’était bien. Très bien, même. Comme toujours, Lorenzo (aka Classic Grid) était là avec son fidèle VW T2. Et comme toujours, le frigo était plein : des bières fraîches nous attendaient. Royal.

L’ambiance ? À mi-chemin entre une garden party vintage et un rêve de gamin qui aurait grandi avec des posters de 917 et de DB5 au mur.

Des tribunes à l’apéro

Après avoir arpenté les stands et salué quelques beautés mécaniques au détour des paddocks (mention spéciale à une Datsun qui sentait bon l’essence), nous avons pris la direction des tribunes, face à la ligne droite des stands. Là, nous nous sommes posés quelques instants pour admirer le passage de plateaux plus bruyants que raisonnables, entre V12 Jaguar et 3 cylindres 2 temps Saab.

Et comme admirer des autos donne faim (c’est prouvé), on s’est installés avec l’équipe et Lorenzo pour un apéritif bien mérité, avec au menu : cochon grillé et flageolets.

Franchement, on aurait pu s’arrêter là. Viande fondante, soleil couchant, verre à la main et les échos d’un V8 old school au loin. Le Mans Classic, c’est aussi ça.

Plus qu’un rassemblement

Ce qu’on aime ici, ce n’est pas juste le plateau hallucinant de voitures qui valent plus que tous nos biens réunis, mais bien l’ambiance, les rencontres, le mélange entre puristes en salopette Goodwood et familles en short-poussette. Et puis retrouver des têtes connues, échanger autour d’un capot ou d’un sandwich, discuter du bon vieux temps (celui qu’on n’a pas connu, mais qu’on idéalise comme il faut)... c’est ça aussi, Le Mans Classic.

En résumé :

Des voitures, du style, Lorenzo et son van vintage, des copains, des tours de circuit en fond sonore, du cochon grillé et une météo qui, pour une fois, n’a pas tenté de ruiner le week-end (sauf dimanche... mais on partait).

Merci à ceux qu’on a croisés, à ceux qui sont passés nous faire un coucou, et évidemment à Lorenzo pour l’accueil et les bons moments.

On revient en 2027, c’est sûr.

📸 Si vous avez des photos avec nous, tagguez-nous. On a hâte de voir vos souvenirs, vos clichés de sublimes épaves ou vos baskets pleines de poussière.

D’ici là, on se retrouve pour parler moteurs... et barbecues.

Par Aloïs Alilouche
Crédits photos : Thomas Garmrouguian